Gérald Tremblay, le maire de Montréal, accompagnera deux ministres du Québec à Londres, afin de tenter de sauver le Grand Prix du Canada.
"Nous allons discuter d’un plan d’affaires," déclare Tremblay au Financial Post. "Si nous ne faisons rien, le Grand Prix sera perdu."
Michael Fortier, ministre fédéral, a également précisé que le contrat de cinq ans n’a pas été respecté et il compte bien faire valoir les droits du Grand Prix du Canada.
"Il reste encore trois ans de contrat. Je pense que ce contrat nous permet de négocier et d’avancer. C’est une surprise pour moi d’être arrivé à une telle situation. Nous ferons tout ce que pouvons pour que le Grand Prix reste à Montréal."